Pour une protection sociale de qualité et de proximité

Revalorisation des retraites minimales, prise en charge des cotisations sociales, lutte contre le mal-être, réduction de la facture CSG/CRDS au profit des droits à retraite complémentaire, Titre emploi service agricole (Tesa) simplifié qui permet chaque mois de faire l’économie d’une feuille de paie, calcul des retraites sur les 25 meilleures années… Ces avancées montrent que le combat des élus des réseaux JA/FNSEA et MSA paye. Dans un monde en crise et en mouvement, une protection sociale agricole est essentielle. Pour accompagner les agriculteurs de demain, faire face aux crises, soutenir les employeurs et améliorer la vie à la campagne, nous avons besoin d’une MSA plus forte, plus efficace, plus engagée.

Pourquoi la MSA fait mieux que la Sécurité sociale ?

La MSA : un guichet unique à préserver

Le régime agricole a une longueur d'avance ! Pas besoin, comme dans les autres régimes de naviguer entre caisse d'assurance maladie, caisse d'allocations familiales, Urssaf…

La MSA : des dispositifs adaptés pour passer les crises

Inondation, gel, FCO, MHE… C’est en cas de crises que l’on voit le mieux l’intérêt d’une organisation gérée par des professionnels. La MSA peut activer des outils pour accompagner efficacement les agriculteurs et les exploitations en difficulté (prise en charge de cotisations, échéanciers, aides aux agriculteurs en situation de mal-être).

La MSA : des professionnels élus pour faire du lien

La MSA est un organisme mutualiste géré par des élus, agriculteurs, employeurs et salariés agricoles. Contrairement aux élus des autres régimes, nos 13000 délégués cantonaux connaissent le terrain et ses problématiques. JA et la FDSEA portent l'ambition de professionnaliser le rôle des délégués cantonaux pour leur permettre d'approfondir le lien avec les adhérents et pour développer l'implication des jeunes, qui sont l'avenir de la MSA.

La MSA : des services pour le monde rural

Maisons France Services, maisons de retraite, crèches, maisons de santé rurales, aide à domicile, prévention. Le travail des délégués cantonaux permet de créer des solutions adaptées aux réalités locales.

Ce que défendent les candidats JA/FDSEA :

1. Exiger une qualité de service homogène dans toutes les caisses

Pour la profession agricole, défendre son régime de protection sociale, c'est exiger de lui les meilleures performances. La qualité du service aux adhérents est la première priorité des candidats JA/FDSEA. Tous les adhérents doivent bénéficier du même service quelle que soit leur caisse, un effort de pédagogie est indispensable pour améliorer la relation de l’adhérent à sa caisse.

2. Agir pour renouveler la population agricole 

Les départs massifs en retraite imposent de préparer et d’accompagner l’installation des agriculteurs de demain. La MSA doit être un acteur clé pour rendre attractif le métier d'agriculteur. Les candidats JA/FDSEA demandent un accompagnement humain et financier du cédant, qui se coordonne avec l’accompagnement du futur installé. La MSA doit être un acteur clef pour rendre attractif le métier d’agriculteur demain.

3. Simplifier les démarches des employeurs

Les candidats JA/FDSEA se battent pour améliorer les dispositifs d’exonération de charges. La profession demande aussi une simplification des démarches des employeurs (dématérialisation, juristes dédiés, réponses écrites).

4. Garantir une retraite minimum à 1 200 €

Les candidats JA/FDSEA demandent :

la mise en œuvre d’une retraite minimum à 85 % du Smic (environ 1 200 € par mois) pour tous les retraités à carrière complète,
la mise en œuvre d’une aide au passage de relais pour

5. Revaloriser les rentes en cas de pépins de santé

Les rentes versées à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie grave ne permettent pas de vivre. Les candidats JA/FDSEA demandent la revalorisation de ces rentes. 

6. Améliorer l’adéquation entre revenus et cotisations sociales  

Les candidats JA/FDSEA demandent :

la possibilité de payer leurs cotisations sur le revenu de l’année (faible revenu = faible cotisation)
la mise en œuvre d’une assiette de cotisations limitée au revenu prélevé à titre personnel

7. Obtenir le financement des mesures d’aides aux agriculteurs en situation de mal-être

Les crises successives malmènent de nombreux agriculteurs qui doivent être accompagnés par des dispositifs experts et dotés de budgets adaptés aux enjeux : aides au répit, aide AREA à la relance de l’exploitation, audit et comptabilité.  

Votez pour les candidats soutenus par JA21 et FDSEA21